Bonjour à tous ! Il est temps de vous présenter l’achèvement du plafond de l’étage ! Les plus observateurs d’entre vous auront pu apercevoir de quoi je veux parler dans l’article de la semaine dernière… Ce sont les poutres ! Je vous montre.
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Historique du plafond de l’étage
L’intégralité de l’étage de la maison dispose d’un plafond lambrissé. A l’origine, c’était comme ça.
J’entends bien que la nouvelle mode est de chérir le bois au naturel et de préserver les murs et plafond en bois comme si c’était de l’or. Mais ce n’est pas mon point de vue ! Alors on a tout peint.
C’était un boulot énorme et JAMAIS nous n’avons regretté. La luminosité que ça a apporté à l’étage a véritablement tout changé.
Mais ce n’était pas complètement fini. On a laissé les poutres dans leur état d’origine, en chêne foncé. Ca ne me plaisait pas mais on manquait d’inspiration.
Les poutres transformées
Alors, tadam… Voilà le nouveau look des poutres !
Après de multiples essais de teinte qui ne me plaisaient pas, c’est finalement Cédric qui a proposé que je tente de forcer le contraste avec du noir !
Et j’ai tout de suite adoré ! Cela modernise les poutres qui s’intègrent bien mieux dans le décor.
Pour la marche à suivre, j’aime mieux vous dire que ça a été simplissime : j’ai passé UNE couche de peinture Action noire au pinceau. Et c’est tout. Ca a suffi.
C’est la peinture que j’avais utilisée pour la porte du dressing, par souci de cohérence.
Bonus : l’aménagement végétal de la mezzanine
Et puisqu’on parle du plafond de l’étage, j’en profite pour vous montrer l’aménagement végétal que j’ai bricolé hyper simplement de l’autre côté, sur la mezzanine du bureau.
Chic, non ?
Franchement, j’en suis hyper contente !
Ce sont des balconnières en osier que j’ai trouvées totalement par hasard chez Action. Mais j’ai vraiment sauté dessus.
Toutes les plantes installées là-haut sont très heureuses ! J’ai même une orchidée qui commence à fleurir.
Pour garnir les balconnières, j’ai juste posé des pots en plastique à l’intérieur. Au fur et à mesure des rempotages, j’utilise des pots carrés qui fonctionnent mieux dans les balconnières.
Le luminaire accrochée à la rambarde permet d’allumer une lampe horticole l’hiver, pour le monstera habituellement posé sur la vitrine. Il est dehors en ce moment !
Perspectives
Pour une complète honnêteté, il reste encore l’encadrement du vélux à finir… depuis la rénovation du toit il y a deux ans. On va bien finir par avoir le courage de monter l’échafaudage pour en terminer avec ça !
Comment vous trouvez tout ça ?
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